Maia Mater – Saison 4

Stéphanie Mbuga, fondatrice de Women of Well (in English !)

In the picturesque coastal town of Mombasa in Kenya, Stéphanie dedicated her days to the incredible journey of pregnancy as an Obstetrics and Gynecology professional. The joy of accompanying hundreds of women on this transformative path left her deeply fulfilled. Yet, her roots in an African culture unveiled the significant impact of culture on healthcare, particularly mental wellness.

Quel est ton parcours ?

Witnessing the heartbreaking invalidation of women’s mental health struggles during pregnancy and the subsequent toll on their families, I decided to embark on a new journey. A year ago, I ventured to France to pursue a Master’s in Business Administration, fueled by a vision to establish a company. This endeavor aims to cultivate safe spaces where women can openly discuss their mental health struggles, finding the support they need.

In a world that’s evolving, there’s no room for stigmatizing those who bravely acknowledge their mental health challenges, especially when bringing life into the world. Together, we can create a future where every woman feels empowered to share her journey and find the support she deserves.

Et ton talent caché ?

Unveiling my not-so-hidden talent: I belt out tunes that could wake up the entire neighborhood – and trust me, my neighbors are well aware!  I like to think of it as a daily concert series. And hey, with a whopping 133 YouTube followers, someone out there appreciates my vocal prowess!
#LoudAndProud #KaraokeQueen

Marta Agrech et Maëlys Belair, co-fondatrices de Oxie

Saviez-vous que 70 % des projets de décarbonation (projet de réduction du CO2 dans l’atmosphère) nuisent à la biodiversité ? En essayant de résoudre un problème, nous risquons d’en créer un plus grand ailleurs. Oxie est née du constat que, pour les entreprises qui ont une réelle volonté d’agir, il est très compliqué de soutenir des projets de décarbonation fiables et réellement bénéfiques pour l’environnement, aussi bien sur le plan environnemental que social.

En parallèle, l’agriculture, grâce à des pratiques de plus en plus respectueuses de l’environnement, peut représenter un véritable levier pour la décarbonation de notre atmosphère (agriculture régénératrice, plantation de haies, etc.). Et pourtant, ces pratiques aujourd’hui sont encore trop peu valorisées auprès des agriculteurs, notamment financièrement.

Avec Oxie, nous nous engageons pour un FuTuR du marché du carbone volontaire plus Fiable, Transparent et Redistributif :

• Fiable, grâce à des données calculées d’une façon actionnable en appliquant les règles de la comptabilité écologique ;
• Transparent, nous utilisons les leviers technologiques pour assurer la transparence des données sur l’impact de chaque projet;
• Redistributif, en valorisant les pratiques agricoles à impact positif auprès des agriculteurs, en leur apportant un véritable flux financier pour les accompagner dans ce changement.

Quel est votre parcours ?

Marta – Je rigole souvent en disant que je suis polonaise d’origine et française de formation. J’ai consacré beaucoup de temps à étudier et travailler au sein de grandes entreprises. Maintenant, il est temps pour moi de me lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Je souhaite désormais mettre à profit mon savoir-faire afin de remédier à une injustice existante et mettre mes compétences au service d’une cause qui a du sens pour moi. C’est pour cette raison que j’ai créé Oxie.

Maëlys – Après plus de 5 ans dans le monde du Conseil en transformation digitale au sein d’organismes publics, de sociétés d’assurances, ou encore au sein de l’industrie, je souhaite désormais mettre à profit mes compétences en pilotage, gestion de projet et conduite du changement au service de notre belle planète, pour un projet qui fait sens pour moi. C’est pour cela que j’ai décidé de rejoindre Marta pour écrire l’histoire d’Oxie.

Et niveau talents cachés, ça se passe comment ?

Marta – Je suis la représentation humaine de Twitchy de Red Hood (pour ceux qui n’ont pas la ref, c’est ici). Parait-il que seuls 64 mots par minute nous séparent avec Eminem Mon débit de parole est autant mon talent caché qu’un boulet au pied 🙂

Maëlys – Il ne me faut pas plus de deux trois bruits de percussion pour commencer à bouger de la tête aux pieds et à danser ! J’aime particulièrement les danses africaines et latines